Vous rêvez d'un terrain de jeu décontracté au paradis ? Découvrez Soneva Fushi, l'un des derniers complexes hôteliers familiaux des Maldives, situé sur l'île privée de Kunfunadhoo dans l'atoll de Baa, une réserve mondiale de biosphère de l'UNESCO. Soneva Fushi définit le paradis tropical avec un amour de la vie lente.

Son nom est une combinaison des noms des fondateurs Sonu et Eva Shivdasani. Grâce à l'expertise de Sonu en matière de gestion et au style et au design d'Eva, le couple a créé un complexe hôtelier qui allie avec brio le fantasme de Robinson Crusoé à un luxe soigneusement étudié.

Associés à leur désir irrésistible de protéger l'environnement, ils ont conçu une philosophie unique de sophistication simple, tout en revenant luxueusement à la nature. « Pas de chaussures, pas de nouvelles », la devise de Soneva, ne fait qu'encourager les clients à savourer pleinement le luxe de la vie pieds nus au complexe.

Son emplacement offre aux clients une opportunité infinie d'explorer les longues plages de sable de l'île qui mènent aux eaux chaudes de l'océan Indien. Les clients trouveront 71 villas de luxe au toit de chaume nichées du côté du coucher et du lever du soleil de l'île. Chacune d'entre elles dispose de sa propre étendue de plage et est nichée au milieu d'une végétation dense à proximité d'un récif de corail immaculé.

Soneva Fushi partage notre désir et notre passion pour la protection de nos océans, de plus en plus menacés. Le complexe s'est développé pour être aussi durable que possible grâce à des innovations pionnières. Parmi ses initiatives figurent le recyclage des déchets, l'élimination du plastique, l'engagement à protéger les récifs coralliens et la réflexion et la production locales. Soneva est un précurseur dans le domaine de l'écotourisme et la destination idéale pour les voyageurs les plus conscients du monde.

L’année dernière, le projet Soneva Namoona a été lancé dans le cadre d’un projet pilote mené en partenariat avec le gouvernement maldivien pour mettre un terme à l’incinération à ciel ouvert des déchets de l’île de Baa. Au lieu de cela, les déchets alimentaires et organiques, les métaux et les bouteilles sont broyés, concassés ou compostés et transformés en objets de valeur économique, tels que des blocs de construction en béton et des engrais. Les déchets plastiques sont recyclés ou utilisés pour créer de nouveaux objets utiles. Les déchets deviennent littéralement des trésors. C’est le premier atoll des Maldives à atteindre cette ampleur d’engagement en faveur de la protection de l’environnement et de l’inversion de l’horloge écologique.

Nous avons rencontré Sonu Shivdasani, co-fondateur de Soneva, pour en savoir plus sur la mentalité et l'éthique aimantes qui caractérisent ses complexes hôteliers. Sonu est né en Angleterre, a étudié à Eton College, au Rosey en Suisse, puis a obtenu son diplôme de l'Université d'Oxford. Avec sa femme, Eva, ils ont eu l'occasion de se rendre fréquemment aux Maldives. C'est au cours de ces voyages inoubliables qu'Eva et Sonu ont développé le rêve de vivre un jour là-bas. Un rêve qu'ils ont désormais réalisé ensemble.

« J’ai visité les Maldives pour la première fois avec Eva pendant notre lune de miel en 1986, et nous en sommes tombés amoureux. Je n’avais jamais rien vu de tel. Eva aimait le mode de vie simple et intact des Maldives. Nous avons décidé d’ouvrir un complexe hôtelier unique en son genre, tout en veillant à protéger l’environnement. Nous pensons qu’une entreprise doit avoir un objectif clair au-delà de la simple rentabilité. Elle doit servir et contribuer à la société dans laquelle elle opère et ne doit pas avoir d’impact négatif sur l’environnement dans lequel elle se situe. Ensemble, nous avons combiné nos expériences respectives en matière de gestion, de style et de design pour développer un complexe hôtelier qui satisferait notre désir d’une destination de rêve pour ceux qui aiment voyager dans le luxe. Nous avons acheté un complexe hôtelier abandonné sur l’île lointaine de Kunfunadhoo, d’une superficie de 100 acres, aux Maldives, et nous nous sommes mis à réaliser notre rêve. »

« L’océan Indien abrite des habitants uniques que l’on ne trouve dans aucun autre océan. C’est la meilleure destination pour les amateurs de plongée et de snorkeling car elle abrite de nombreuses espèces menacées telles que des tortues, des dugongs, des requins et des baleines. La semaine dernière, notre biologiste marin et instructeur de plongée a repéré un requin-baleine très rare non loin de Soneva Fushi. La dernière fois que nous avons vu un requin-baleine rare, c’était il y a 7 ans. L’océan Indien abrite la plus grande population de raies manta au monde et nous proposons à nos clients une excursion spéciale pour nager avec les raies manta. Et bien sûr, la couleur de l’océan est incomparable à celle de toute autre destination au monde. »

« Soneva se distingue par son souci de l'espace et de l'intimité, et par la manière dont les matériaux durables peuvent avoir une grande esthétique. Nous croyons qu'il faut faire ressortir la beauté de la nature et c'est ce qui nous distingue. Le luxe intelligent consiste à combiner les opposés traditionnels de la durabilité et du bien-être avec le luxe. Nous pensons que ces deux choses se complètent en fait. Dans nos complexes hôteliers, nous insistons sur le fait qu'il n'est pas nécessaire de détruire la planète ou son corps pour s'adonner au luxe. Lorsque les clients arrivent dans l'un de nos complexes hôteliers, nous prenons leurs chaussures et les mettons dans un sac. Ne pas avoir de chaussures et ne rien avoir à faire est très sain et rassurant. Beaucoup de nos concurrents appliquent un code vestimentaire, alors que chez Soneva, vous n'êtes pas obligé de porter des chaussures ou des pantalons où que ce soit. Non seulement cela nous distingue des autres établissements, mais cela permet également à nos clients de se sentir chez eux sans les soucis et les obligations de leur vie quotidienne. Dans notre conception du luxe, une salade fraîche de notre jardin bio devient plus attrayante qu'un Mouton Rothschild et est certainement plus saine. Cinéma en plein air, observatoire et douches extérieures sont autant de choses dont les citadins, aussi aisés soient-ils, sont privés. Nos salles de bains n’ont peut-être pas de robinetterie en marbre ou en or, mais nos clients peuvent prendre une douche tout en contemplant la pleine lune.

« Le principe directeur de notre marque est de créer une SLOW LIFE innovante et enrichissante pour nos clients. C'est notre morale, ainsi que notre boussole opérationnelle, et cela a également fourni un modèle pour l'avenir du secteur de l'hôtellerie. Notre véhicule pour offrir la SLOW LIFE est notre philosophie de base du « luxe intelligent ». Il s'agit de combiner les opposés traditionnels de la durabilité et du bien-être avec le luxe. Nous pensons que ces choses se complètent en fait. Au cœur du problème se trouve ce que le véritable luxe signifie pour nos clients d'aujourd'hui. La définition du luxe est quelque chose de rare, mais les riches d'aujourd'hui viennent d'un contexte différent de celui des riches du passé, lorsque certains des luxes les plus traditionnels ont été établis. Dans la société d'aujourd'hui, le luxe se traduit par la paix, le temps et l'espace. Il s'agit de se mettre du sable entre les orteils et de dîner sous la voûte d'un milliard d'étoiles, de se reconnecter à soi-même et à l'environnement naturel. Pour les clients qui vivent dans une jungle de béton exiguë et polluée, le vrai luxe est de manger une salade fraîchement cueillie, cultivée dans notre jardin biologique tout en respirant l'air frais et en profitant d'une belle vue.

FrançaisLa durabilité est au cœur de nos préoccupations et nous nous efforçons toujours de limiter l’impact environnemental négatif de nos activités, ce qui est à la fois difficile et essentiel pour une entreprise qui exploite des complexes hôteliers dans des endroits reculés d’une beauté naturelle immaculée. Nous ne sommes pas toujours à la hauteur de nos propres normes élevées, mais nous sommes très clairs sur nos responsabilités en tant que gardiens de ces magnifiques endroits dans lesquels nous opérons. Opérer dans des endroits reculés oblige nos clients à parcourir de longues distances. En moyenne, un voyage aller-retour d’un client entraîne des émissions d’environ 1 tonne de _CO2 . Nos clients n’ont d’autre choix que de prendre l’avion pour atteindre nos sites reculés. Bien que les voyages aériens sans émissions soient encore loin et jusqu’à ce que les compagnies aériennes disposent de cette technologie, nous avons pris la décision de compenser les émissions de chaque vol de nos clients en imposant une taxe carbone de 2 % sur la facture de nos clients. Cette petite taxe, basée sur le tarif de la villa, permet à la Fondation Soneva d’investir dans des projets qui ont des impacts environnementaux, sociaux et économiques positifs qui compensent les émissions de carbone des vols des clients et des activités du complexe. Nous n’avons eu aucune résistance, nos clients ont pleinement soutenu notre initiative. »

« J’ai passé ma vie à travailler dans l’industrie hôtelière et j’ai consacré ma carrière à bâtir ce qui est aujourd’hui un réseau de complexes hôteliers de luxe. Je ne pense pas que cela me mette en désaccord avec la conservation, mais je suis le premier à dire que les secteurs de l’hôtellerie et du tourisme devraient reconnaître leurs échecs et prendre des mesures pour apporter des changements. Il ne fait aucun doute que nous, en tant qu’industrie, consommons bien plus que notre juste part de ressources. Mais je crois que toutes les entreprises, y compris les entreprises hôtelières, doivent avoir un objectif au-delà du profit. Elles doivent jouer un rôle plus important dans le monde au-delà du simple enrichissement de leurs actionnaires. »

« Chez Soneva, nous avons toujours utilisé la nature comme source d’inspiration pour nos innovations. En fait, notre structure organisationnelle s’inspire de la relation entre les planètes. Être durable ne doit pas forcément être coûteux. Par exemple, nous cultivons nos propres légumes, ce qui nous permet d’économiser beaucoup d’argent en n’important pas de fruits et légumes dans nos complexes hôteliers. Dans notre Waste to Wealth Centre, notre carton et nos restes de nourriture sont transformés en compost, les branches qui tombent des arbres sont placées dans un four à pyrolyse où nous créons du charbon de bois et 83 % de nos blocs de construction non structurels sont fabriqués à partir de déchets. Nous produisons une huile de coco pressée à froid très fine à partir de nos déchets de noix de coco et, bien sûr, dans Glasscycle, notre atelier de soufflage de verre à la pointe de la technologie, nous recyclons toutes nos bouteilles usagées et les transformons en œuvres d’art uniques. »

« J’ai constaté une croissance considérable dans le secteur de l’écotourisme de luxe au cours des dernières années, non seulement aux Maldives mais aussi dans le monde entier. Je pense que cela est dû au fait que les propriétaires et les directeurs comprennent qu’il est tout à fait logique d’un point de vue commercial de se concentrer davantage sur la durabilité, car la demande de voyages respectueux de l’environnement et de la société augmente. Cela est également logique sur le plan financier si vous le faites de la bonne manière. Cela dit, je pense que la durabilité est là pour rester et ne disparaîtra pas comme le font parfois d’autres tendances. Les ressources de notre planète sont limitées et nous devons tous être de meilleurs gardiens pour protéger le monde dans lequel nous vivons. »

« J’aimerais partager avec vous quelques vidéos importantes : la vidéo « Notre nouvelle normalité par Soneva » , dans laquelle j’explique tous les changements que nous avons apportés pour créer un environnement sans COVID sur nos îles afin de garantir la sécurité et la santé de nos clients. Ainsi que « Le sens de la vie », où nous partageons notre vision de Soneva sur le sens de la vie et ce que nos clients chérissent le plus. »